Rappelle-toi dans quelles conditions on voyageait autrefois. Compare cette traversée avec celles des audacieux navigateurs qui découvrirent ces mers immenses. Essaie de te représenter comment ils se lançaient, sur leurs malheureux cotres, dans l'inconnu, ignorants de la route à suivre, perdus dans l'infini, sans cesse exposés aux dangers et aux intempéries, aux souffrances de la faim et de la soif. Pas de lumière la nuit, comme boisson l'eau saumâtre des tonneaux et l'eau de pluie, rien d'autre à manger que le biscuit dur comme de la pierre et le lard salé et rance, souvent même manquant de cette pauvre nourriture pendant de longs jours ! Pas de lit ni de couchette, une chaleur infernale, un froid impitoyable et de plus la conscience qu'ils étaient seuls, absolument seuls dans cet immense désert d'eau. Pendant des mois, des années, personne chez eux ne savait où ils se trouvaient et eux-mêmes souvent ignoraient où ils allaient. La faim voyageait avec eux, la mort les entourait sous mille formes sur mer et sur terre, le danger qui les menaçait venait à la fois de l'homme et des éléments.Stefan Zweig, Magellan (1937), traduit de l'allemand par Alzir Hella
1. C'est une urgence !
2. Mon fils est coincé dans un cerceau !
3. J'ai versé du jus de citron sur lui.
4. Il dansait sur le Lac des Cygnes.
5. Il a coincé sa ceinture.
6. J'ai cherché longtemps la source du problème.
7. J'ai utilisé un cintre pour le tenter de le libérer.
8. Malheureusement il tournait comme une hélice.
9. S'il vous plaît, il me faudrait un coup de pouce.
10. Ô Ciel ! Quelle tragédie !